Friday, February 09, 2007

Jean DE CHATEAU-BARDON


Birth:ABT 1420
Death:
Sex:M
Father:
Mother:


Occupation: Seigneur de Château-Bardon (Meschers 17)
Title: Seigneur, de Château-Bardon

Julienne DE CHATEAU-BARDON


Birth:ABT 1455
Death:
Sex:F
Father:Jean DE CHATEAU-BARDON b. ABT 1420
Mother:Adèle DU GUA b. 1430
Occupation: Dame de Château-Bardon (Meschers, 17)

San Bardón (982-1053)

(+ 1051) Archevêque de Mayence, il vivait dans une telle austérité que le Pape Léon IX, passant par là, lui recommanda de mieux veiller à sa santé pour le bien de l'Eglise. Ce qu'il fit par obéissance.

73 Dernier voyage de saint Léon IX en Allemagna, 73. Mort de saint Bardon de Mayence. Son successeur ne lui ressemble pas tout à fait

http://www.christ-roi.net/index.php/Rohrbacher:Tome06-Page588

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SAINT WILLIGISE, EVEQUE DE MAYENCE (+ 1011)

Saint Willigise naquit à Stromingen de Schonenbourg, village de Saxe. Pendant que sa mère le portait dans son sein, il lui apparut sous la figure d'un soleil qui éclairait la terre. Ce signe annonçait quelles seraient un jour sa doctrine et sa vertu. En effet, devenu archi-chapelain d'Othon II, puis archévêque de Mayence, il fut la lumière de l'empire et de l'Eglise. Il fut le précepteur d'Othon III, gouverna l'Etat pendant la minorité de ce prince, et fut appelé par les peuples "Père de l'Empereur et de l'Empire". Othon III n'ayant pas d'enfant, le saint archévêque lui conseilla, pour éviter les discordes intestines, de remettre l'élection de son successeur à certains princes de la Germanie, en admettant aussi le suffrage du pontife romain Grégoire V. Le règne de saint Henri II fut le fruit de ce sage conseil. Willigise s'appliqua avec un égal soin à donner des prélats capables aux églises d'Allemagne : celle de Worms lui dut Burchard, son disciple; celle d'Illdesheim, Gothard; celle de Prague, Adelbert. Il avait bâti l'église métropolitaine de Mayence, qui fut brûlée le jour même de la consécration; il se remit à l'oeuvre pour la relever, mais, prévenu de sa mort,
il laissa ce soin à son successeur, saint Bardon. Il bâtit encore à Mayence l'église de Saint-Etienne, premier martyr. Il agrandit à ses frias le monastère de Saint-Victor. Il mourut dans un âge avancé, l'an 1011, et fut enseveli à Saint-Etienne.

Outre qu'elle l'a adopté pour un de ses patrons, la ville de Mayence a conservé la "roue de Saint Willigise" dans ses armoiries, pour rappeler que l'évêque était fils d'un charron. Par une conséquence toute naturelle, les charrons d'Outre-Rhin l'ont choisi pour le protecteur spécial de leur profession. Les artistes qui ont représenté ce saint évêque lui ont aussi mis une église sur la main, par allusion à la cathédrale de Mayence, qu'il recommença 2 fois.
L'église de Saint-Etienne, où il fut enseveli, conserve encore aujourd'hui une de ses chasubles.
Propre de Mayence.
(note jmd : désolé pour les fautes, le texte est quasiment illisible dans les Petits Bollandistes - raison de plus pour tenter de n'en point perdre la mémoire!)

http://home.scarlet.be/amdg/sankt/fev23.html


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Dates de Fête: 10 juin, Fête Locale

http://nominis.cef.fr/contenus/saint/7228/Saint-Bardon.html

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Bibliotheca Hertziana - Max-Planck-Institut für Kunstgeschichte - EDV Katalog

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Ces passe-temps finis, les roys partirent de Vormes le seiziesme de mars pour venir à Maience ; ou Carloman amena une grosse armee, composee d'allemans, et bavieriens. Comme aussi Bardon revenant de Saxe, rapporta que ceux de ce pays n'avoient tenu compte des mandemens de l'empereur : estans prests d'obeïr aux Roys Louys et Charles. Or d'autant que l'empereur par mauvais conseil, avoit refusé d'ouyr les ambassadeurs de ses freres ; ils conclurrent de l'aller charger. Charles tenoit le plus rude chemin par Vauge, et Louys celuy de Binge, tant par eau que par terre, Carloman venoit par Enrichi, (que je ne puis appeller Remiremont, car c'est Vauge) le lendemain ils se trouverent au conflans de Moselle et de Rhin ; environ la sixiesme heure du jour, passans à S Castor pour prier Dieu ; et ouyr les messes : lesquelles dittes, les roys tous armez entrerent en leurs vaisseaux, et passerent la Moselle ; nonobstant la garde que l'empereur y avoit mise pour les empescher : laquelle, avec Otgar evesque de Majence, Haton comte, Heriold et autres chefs, fut contrainte d'abandonner le passage. Ce qu'entendu par l'empereur qui estoit à Siciac. Tout aussi tost il quitta la place, et son royaume fuyant avec sa femme et ses enfans, jusques à ce qu'il eut gaigné le pays de Lyonnois, et mis le Rhosne entre ses ennemis et luy ; s'arrestant là, avec ce peu de gens qui l'avoyent suivy. Mais les roys chaudement poursuivans leur victoire, occuperent tout ce qui estoit de France austrazienne, et de Bourgongne ; chassans tous ceux qui tenoient le party de Lothaire : et entr'autres, le bon et docte Raban, fut mis hors l'abbaye de Fulde : jaçoit qu'il semble avoir esté de l'alliance du Roy Louys.

http://fr.ebookslib.com/index.html?a=sa&b=1743&hidd=&off=70670&russian=

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HISTOIRE DES DISSENSIONS DES FILS DE LOUIS LE DÉBONNAIRE, par Nithard

LIVRE TROISIÈME.

Les choses se passant de la sorte, Carloman, à la tête d’une grande armée de Bavarois et d’Allemands, vint trouver son père à Mayence. Bardon, qui avait été envoyé en Saxe, y vint aussi, et annonça que les Saxons avaient méprisé les propositions de Lothaire, et consentaient volontiers à faire tout ce que leur commanderaient Louis et Charles. Lothaire refusa inconsidérément d’entendre les députés qui lui avaient été envoyés. Louis et Charles, ainsi que toute l’armée, en furent vivement offensés, et délibérèrent sur la manière dont ils pourraient eux-mêmes arriver jusqu’à lui. Ils se mirent donc en marche le 17 mars. Charles s’enfonça dans une route difficile à travers les Vosges ; Louis prit par terre, et sur le Rhin, par Bingen, et Carloman par Heinrich. Ils arrivèrent à Coblentz le lendemain, environ à la sixième heure du jour, et se rendirent aussitôt à Saint-Castor pour y faire leurs oraisons. Après avoir entendu la messe, ils s’embarquèrent avec leurs armes, et passèrent promptement la Moselle. Témoin de ce passage, Otgaire, évêque de Mayence, le comte Hatton, Hériold, et d’autres que Lothaire avait postés en cet endroit pour s’y opposer, furent saisis de frayeur, abandonnèrent le rivage, et s’enfuirent. Dès que Lothaire apprit que ses frères avaient traversé la Moselle à Sentzich, il marcha sans s’arrêter pour sortir du royaume, jusqu’à ce qu’avec un petit nombre de gens qui avaient résolu de le suivre, et abandonné des autres, il fût arrivé sur les bords du Rhône. Je finirai ce troisième Livre au moment où finit la seconde guerre que Lothaire avait suscitée.

Las reglas del diálogo cooperativo

Permalink 08.02.07 @ 20:10:00. Archivado en Semántica, Pragmática, España, Sociogenética, Ética

La experiencia práctica y algunas investigaciones en el campo argumentativo atestiguan que la observancia de ciertas reglas promueve el diálogo cooperativo, lo torna más provechoso y facilita su eventual solución satisfactoria o su provisional disolución necesaria.

La solución será satisfactoria, en caso de acuerdo, mientras que su disolución provisional será necesaria, en caso de desacuerdo, a la espera de un mejor planteamiento.

Las reglas recomendadas o recomendables son pocas y de diversa naturaleza: las hay lógicas, éticas y operativas. El respeto de estas reglas garantiza la “integridad del debate”. Quien no las observa se convierte en culpable de alguna de las tantas falacias, que en realidad no sólo son defectos lógicos, sino con frecuencia y voluntariamente transgresiones éticas o pecados comportamentales, que se relacionan, además de con las reglas de la verdad y de la validez, con las reglas de la buena conducta y de la discusión fructífera. Pero si uno trata de vencer, o simplemente está firmemente convencido de su tesis, tenderá a hacer prevalecer su “capacidad de debate” sobre la integridad.

Por norma pretendemos que estas reglas sean respetadas tanto por los otros como por nosotros mismos y, en estricta reciprocidad solidaria, consideraríamos fastidioso si los unos o los otros fuéramos sorprendidos transgrediéndolas, ya que nuestro comportamiento delataría deslealtad, impertinencia o prejuicio y, en todos los casos, ruptura del diálogo.

La versión comentada que presentamos aquí de estas reglas, la debemos a nuestro colega Adelino Cattani de la Università di Padova. Se reconocerán, entre ellas, las máximas que presiden la conversación cooperativa (cantidad, cualidad, relación, modo) elaboradas por Paul Grice (no por casualidad el autor las consideraba aplicables a todos los intercambios finalizados y racionales).

Otras corresponden a algunas de las reglas pragmático-dialécticas de la discusión crítica fijadas por F. H. van Eemeren y R. Grootendorst.

Señalamos finalmente el llamado principio de caridad, fundamental para contener nuestras tendencias a la interpretación libre.

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Primera, no te consideres infalible; no creas que tus ideas son intocables y tus argumentos incontrovertibles. Tienes todo el derecho a tratar de ser convincente, pero, si no lo logras, reconócelo, por lo menos en tu interior. Mantente abierto a la duda y dispuesto a revisar tu posición de partida.

Segunda, busca un punto de partida común. La idea de que no se puede discutir si no se está de acuerdo puede sonar a paradoja, pero compartir al menos una premisa resulta fundamental por ese principio banal pero ineludible según el cual ex nihilo nihil. Es desalentador medir algo con dos varas distintas.

Tercera, atente a lo que crees cierto. No afirmes como si fuera objetivamente verdadero lo que sabes que es falso o puramente subjetivo.

Cuarta, aporta las pruebas que se te piden. Si se te exige que demuestres algo, hazlo o prueba que es una pretensión absurda. Las pruebas serán de la calidad adecuada, y la cantidad, suficiente (puede bastar con una sola o puede ser necesario reunir más de una).

Quinta, no eludas las objeciones. En la disposición a responder a las contestaciones y a las críticas está la razón de ser de la discusión; por tanto, eludirlo la hace naufragar.

Sexta, no eludas la carga de la prueba. Si la patata quema ahora, no quemará menos cuando vuelva a tus manos.

Séptima, trata de ser pertinente. La irrelevancia de los argumentos es una de las causas más difundidas del vicio lógico.

Octava, esfuérzate en ser claro. La ambigüedad es un excelente recurso para los cómicos, no para el que discute.

Novena, no deformes las posiciones ajenas. Al referir los hechos o reformular las intervenciones del otro, aplica el principio de caridad, que impone, en sentido positivo, ser comprensivo, y en sentido negativo, no distorsionar. Atente a la mejor interpretación posible de la posición de tu interlocutor.

Décima, en condiciones de empate final, suspende el juicio, a no ser que comporte un daño mayor.

Undécima, en presencia de nuevos elementos, acepta la reapertura del debate y la revisión del caso.

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